TFE / DATUM — chapitre 1 : l’idée
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Hello, bienvenue dans ce rapport bimensuel dans lequel je vais expliquer en détail mon projet et les phases de recherche et de créations de celui-ci. Dans ce premier rapport je vais vous présenter le pitch de mon projet de fin d’études, j’ai nommé : Datum.
Recherche partie 1 : questionnement
Tout d’abord j’ai commencé par noter plein de thématiques sur une feuille pour avoir une vision globale de ce qui me plaisait. Je me suis très vite dirigé vers la thématique du Japon car c’est quelque chose qui me passionne. J’en suis arrivé à vouloir parler de la mythologie japonaise plus précisément les Yōkai.
Cependant je me suis vite rendu compte que si je choisissais ce thème je me dirigeais vers un storytelling, chose que je n’ai jamais faite.
Je me suis donc redirigé vers une autre thématique, afin d’avoir un sujet avec une problématique, afin d’avoir un projet “utile”.
Cette thématique fut l’histoire et l’idée était claire dans ma tête dés de le départ : aider les étudiants à étudier leurs dates historiques.
Recherche partie 2 : présuppositions et 5W
J’ai comme thématique l’histoire, plus précisément le fait d’étudier l’histoire et l’envie de développer un outil qui permettrait aux élèves de retenir leurs dates pour leurs interrogations d’histoire.
J’ai donc commencé avant de me lancer dans les détails du sujet de présupposer plein d’aspect du service que je mettrais en place, en voici un bref aperçu :
Je présuppose que l’élève a déjà une liste de dates qu’il doit étudier.
> Je présuppose qu’il faudra plusieurs moyens mnémotechniques pour s’adapter au type d’étude de chaque personne.
> Je présuppose qu’une couleur peut aider à l’étude.
> Je présuppose qu’une description aide à retenir.
> Je présuppose qu’un pictogramme peut aider.
> Je présuppose que certaines dates seront plus importantes à retenir que d’autres.
> Je présuppose que certaines dates seront moins importantes à retenir que d’autres.
> Je présuppose qu’il y a plusieurs types d’événements historiques, que l’on peut grouper ceux-ci en catégories.
> Je présuppose qu’une ligne du temps est un bon moyen moyen mnémotechnique.
> Je présuppose qu’il faudra des filtres pour la ligne du temps.
Mes présuppositions étant faites, j’ai pu écrire ma phrase des 5W afin de mieux me situer par rapport au projet, cette phrase est donc la suivante :
Service pour élèves (who), ils pourront où et quand ils veulent (when & there) réviser leurs dates historiques (what), dans le but d’être prêt pour leurs interrogations (why).
Recherche partie 3 : moyens mnémotechniques
Après avoir dressé le cadre de mon service, je suis parti me renseigné afin de voir quels moyens mnémotechniques existent, et voir ceux qui pourraient être intéressant pour mon service.
- La carte mémoire ou flash card : dispositif d’apprentissage fondé sur la technique de la répétition espacée.
- La table de rappel, qui travaille avec la mémoire associative : mettre un crochet à l’information pour mieux la retrouver, principalement utilisée pour mémoriser des chiffres: en savoir plus.
- Le palais mental: s’imaginer une pièce avec différents points chauds où l’on stocke des informations, lorsque l’on va s’imaginer la pièce, on va parcourir les points et automatiquement se souvenir de l’information qu’on y a stockée.
- La ligne du temps (que vous connaissez tous)
Et d’autres mais qui je considère son moins cohérent vis-à-vis du service.
Recherche partie 4 : user research
Lancement d’un user research dans le but de voir la façon dont les gens étudient leurs dates, s’ils utilisent des moyens mnémotechniques et si oui lesquelles, réalisation d’un premier formulaire que voici : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSebNZOj6wUipUyVY380i7BYcOOtlNMf-1vE5ZEAtoqEz6Pb9Q/viewform
Une fois mon formulaire terminé, j’examinerai les réponses afin de déterminer une liste de tâches qui feront office d’un second formulaire pour déterminer mes top task et mes tiny task.
Conclusion
Trouver mon sujet ne fût pas chose aisée, mais une fois celle-ci en poche, les marches à suivre sont clairs dans ma tête, il ne me reste qu’à avancer.